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Prix : 14,00€ - 12,35 €
(à partir de Apr 17, 2025 19:09:05 UTC – Details)
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Les acheteurs donnent la note de 4.5/5 à cet article
Avis sur le films
Reviewer: michael
Rating: 5,0 sur 5 étoiles
Title: Incontournable…
Review: Un film à ne pas manquer, découvert d’après les recommandations Amazon. Superbe prestation des acteurs, bon scénario. Du bon cinéma qui tient la route même si j’avoue ne pas savoir si ce biopic est fidèle à la vie de Berlioz. Le plus, son et images restaurés.
Reviewer: morosa
Rating: 5,0 sur 5 étoiles
Title: sans titre
Review: tout parfait
Reviewer: Vacellier Roger
Rating: 4,0 sur 5 étoiles
Title: Film de qualité, Cristian Jacques excellent réalisateur
Review: J’avais de vague souvenir de ce film que j’avais vu à sa sortie, oui, en 1942. Je n’ai pas été déçu bien que les images datent, mais cela ne me choque pas. Et Jean Louis Barrault est quelqu’un qu’il ne faut pas oublier. Enfin Berlioz reste un grand musicien français, toutefois le son n’est pas en hifi. La qualité des images est très acceptable
Reviewer: C. Deger
Rating: 5,0 sur 5 étoiles
Title: Excellent film…wish I had a better understanding of French language.
Review: Good film. High quality source material. Excellent transfer. Wish the film could have had the choice of English subtitles (hint!). Excellent service. Fast shipping. Recommended. Thank you.
Reviewer: slo
Rating: 4,0 sur 5 étoiles
Title: Berlioz Symphonie Fantastique
Review: Evocation très romancée de la vie de Berlioz. La qualité d’image est correcte, le son est celui de 1942…La symphonie Fantastique est ses particularités ne sont pas mises en avant. Quelques passages sympathiques :chahuts , rencontre de célébrités (Meyerbeer totalement absent sans doute à cause de l’époque de la réalisation)
Reviewer: Denis Urval
Rating: 3,0 sur 5 étoiles
Title: « La France, c’est tout ce qui éclaire »
Review: Nb. Cette recension d’un film se promène sur la page de produits sans rapport, je n’y suis pour rien.Pour le spectateur qui ne saurait rien des circonstances de sa réalisation, la Symphonie fantastique est simplement un film français du temps jadis, un « biopic » comme on dit à présent dans la langue de tout le monde et de personne, consacré à Hector Berlioz. Pour le spectateur un peu plus renseigné, la Symphonie fantastique est un film français tourné pendant l’Occupation, et produit par Continental-Films, société parisienne aux capitaux allemands, fondée et dirigée par un nazi énigmatique, Alfred Greven, qui entendait avoir la haute main sur le cinéma hexagonal. Mais le spectateur vraiment renseigné sait sans doute que Goebbels (dont les relations avec Greven n’étaient pas simples), était mécontent du film qu’il considérait comme un « hymne national de premier ordre ». Depuis quand les français avaient-ils (ou devaient-ils se souvenir d’avoir, ce qui dans un univers orwellien est la même chose) une musique à eux qui ne soit pas de pur divertissement, de grands créateurs dont le cinéma pouvait raconter les luttes, les déceptions et les victoires ? Dans l’univers de Goebbels, le cinéma français devait produire des œuvres superficielles, les vrais talents, s’il y en avait, devaient filer à Berlin, tandis qu’au chapitre de l’Art, Wilhelm Kempff donnait au Palais de Chaillot du BeethovenLa musique à Paris sous l’Occupation, histoire qu’on sache où était la civilisation.Cette discordance entre les projets de l’occupant et le contenu du film n’est pas le fruit du hasard. Le réalisateur Christian-Jaque avait tenu à s’assurer une certaine indépendance artistique lorsqu’il avait signé son contrat avec Greven et il devait faire jouer habilement une clause de ce même contrat pour se dégager de toute relation future avec la Continental, et ce dès le tournage de la Symphonie fantastique, son second et dernier film pour cette firme (voir le livre passionnant de Christine LeteuxContinental Films : Cinéma français sous contrôle allemand). Le scénariste du film, Henri-André Legrand, avait signé en 1940 Prisons nazies, un livre interdit sous l’Occupation (ce que Greven savait fort bien). Autant dire que si on cherche des partisans fervents de la collaboration dans le cinéma français de l’époque, ce n’est pas du côté des auteurs de ce film qu’il faut chercher.Après, chacun peut voir ce film comme il veut. On peut déplorer qu’on n’y entende pas d’autres pages de Berlioz et regretter certains choix (une restauration de la bande son serait en outre plus que nécessaire), encore que l’usage de la Fantastique elle-même soit assez savoureux, et que celui d’une Mélodie des Nuits d’étéSings Berlioz/Bach/Handel/& By Eleanor Steber (1996-10-01) donne lieu à l’une des scènes intimes les plus réussies du film, lorsque Hector retrouve Marie. On peut déplorer les maladresses (dans l’évocation des déboires de la vie privée du compositeur et de ses relations avec son fils) et certaines outrances du jeu de Jean-Louis Barrault. Et pourtant, celui-ci propose certainement une incarnation étonnante du compositeur, dont il a le visage, les joues creuses, les pommettes, le profil d’aigle, la silhouette qui invite la caricature, le côté fiévreux. Un Berlioz dont il parvient à incarner le vieillissement (aidé par le travail du chef maquilleur, Acho Chakatouny) et l’inguérissable mélancolie, et ce avec beaucoup de dignité, nous donnant à voir un homme qui se renferme en lui-même et s’éloigne du monde à mesure que la gloire vient à lui.La distribution permet de retrouver plusieurs acteurs appréciés, au premier rang desquels Bernard Blier, idéal dans le rôle de l’ami fidèle doué pour deux de sens pratique, Blier auquel on doit certains des moments les plus légers et les mieux venus du film (dès la première scène dans l’Amphithéâtre de médecine), l’élément comique n’étant pas absent. On reconnaîtra Louis Seigner en Habeneck (personnage que le film charge excessivement, dans la lignée des Mémoires du compositeur), Noël Roquevert dans un petit rôle de gendarme, et Jules Berry dans le rôle de l’éditeur Schlesinger, toujours parfait quand il faut incarner des personnages dérangeants et déplaisantsLe Jour se lève [Blu-ray], ici partagé entre la frilosité du commerçant et l’intuition que quelque chose est arrivé. Côté féminin, que le scénario et les dialogues ne favorisent guère, Lise Delamare ne marque pas dans le rôle ingrat d’Harriet Smithson, Renée Saint-Cyr s’en sort un peu mieux, surtout dans la seconde moitié du film.J’ai cru lire que le film à sa sortie avait trouvé son public et s’il ne faut pas trop gloser, cette évocation des privations quotidiennes de l’artiste désargenté filmée à l’heure des restrictions, cette évocation de la pléiade d’artistes du groupe Jeune France qui rappelait que ce vieux pays avait encore du sang neuf et comptait des talents de premier ordre, cette histoire de défaite des vieilles barbes, de refus des compromissions et de triomphe, certes amer, sur le destin, avaient certainement de quoi toucher et réconforter un spectateur, un triste jour de 1942 dans la France occupée.Jean-Louis Barrault devait ensuite retrouver Hector Berlioz lors de l’enregistrement de Lélio dû à Pierre BoulezPierre Boulez Edition: Berlioz, où l’on peut entendre sa voix inimitable.Une édition restaurée serait bienvenue.
Reviewer: lasseur jean-pierre
Rating: 2,0 sur 5 étoiles
Title: Berlioz.
Review: j’ai moins aimé ce film que le précédant (Beethoven) je n’ai pas ressenti cette impression d’étau qui vous serre la poitrine pendant l’évolution dela vie de Berlioz.On sent plus le film commercial plat et fade. Désolé.
Reviewer: claude72
Rating: 4,0 sur 5 étoiles
Title: Hector Berlioz un musicien composieur de haut talent
Review: En France, un film important: « La symphonie fantastique », de CHRISTIAN-JACQUE, avec JEAN-LOUIS BARRAULT dans le rôle de BERLIOZ, Renèe Saint-Cyr et Jules Berry! A l’exception de la composition, en une nuit de « la symphonie fantastique », les interventions de la musique sont rèalistes, c’est à dire lors de concerts! La musique, dirigèe par Charles Münch, est remarquablement enregistrée pour l’époque (nous sommes en 1942 en pèriode de pènurie de matières premières), et BARRAULT est hallucinant de ressemblance, interprètant un BERLIOZ incompris, mal-aimè et vivant dans la misère! De plus le film de CHRISTIAN-JACQUE est accompagnè d’une reconstitution de l’époque romantique exceptionnelle! C’est dire que tout ici est dans le dètail! Un vibrant hommage au passé national…En cette année 1942, à l’époque où le fascisme hitlérien régnait sur notre pays et sur presque la totalité de l’Europe, il fallait oser présenter dans notre septième art, cet excellent film qui obtint à son époque un véritable succès.Le réalisateur CHRISTIAN JACQUES, faisant « fi » de la firme Allemande « continental », et de son influence maléfique sur les créations cinématographiques de l’époque OSA et réussit avec la collaboration de ce très grand acteur que fut JEAN-LOUIS BARRAULT, qui parvint par sa véracité , son talent et son réalisme à être en quelque sorte le « clône » de ce grand musicien compositeur que fut HECTOR BERLIOZ .Même si pour les jeunes générations ce film de nos jours possède un aspect « vieillot », il s’agit d’une belle réalisation qu’il faut connaitre lorsque l’on est mélomane.
Reviewer: Amazon Customer
Rating: 1,0 sur 5 étoiles
Title:
Review: Could not play it–for a foreign audience–I returned it–