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Ce film inédit a été édité à partir d’un matériel original. Warner Bros. s’efforce de vous proposer la meilleure qualité de visionnage possible, mais certains défauts d’image et de son peuvent cependant subsister.
Livret d’analyses de la collection, 11 films présentés par Florence Colombani, collaboratrice au magazine Vanity Fair (50 pages)
Rapport de forme : 1.77:1
Production interrompue par le fabricant : Non
Classé : Tous publics
Dimensions du colis : 18,03 x 13,76 x 1,48 cm; 83,16 grammes
Réalisateur : Richard Brooks (I)
Format : Noir et blanc, Cinémascope, PAL
Durée : 1 heure et 33 minutes
Date de sortie : 4 juin 2014
Acteurs : Bette Davis, Ernest Borgnine, Debbie Reynolds, Barry Fitzgerald, Rod Taylor
Sous-titres : : Français
Langue : Anglais (Dolby Digital 1.0)
Studio : Warner Bros. Entertainment France
ASIN : B00LEBIGBE
Pays d’origine : France
Nombre de disques : 1
Prix : 19,00 €
(à partir de Apr 21, 2025 07:08:27 UTC – Details)
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Les acheteurs donnent la note de 4.5/5 à cet article
Avis sur le films
Reviewer: kregnier
Rating: 5,0 sur 5 étoiles
Title: DVD: Le repas de noce
Review: DVD très bien arrivé. Très beau film avec de magnifiques acteurs. L’histoire m’a beaucoup plu avec une Bette Davies méconnaissable.
Reviewer: Gloria
Rating: 3,0 sur 5 étoiles
Title: Bof…
Review: DVD de bonne facture mais pas vraiment accroché au scénario qui, pour moi, tourne franchement en rond. Je le reverrai pour Bette Davis!
Reviewer: guy v.
Rating: 5,0 sur 5 étoiles
Title: une comédie dramatique et sociale injustement oubliée à découvrir absolument
Review: Ce film réalisé en 1956 par Richard Brooks et scénarisé par Gore Vidal méritait vraiment d’être sorti de l’anonymat dans une copie très bien remasterisée.Il nous décrit sans jamais tomber dans la bluette ni dans le mélodramatique la vie difficile de la classe ouvrière dans l’Amérique des années 1950. Jane (Bette Davis, absolument remarquable de justesse et de naturel) est mariée depuis de nombreuses années avec Tom (le toujours excellent Ernest Borgnine), chauffeur de taxi salarié qui a économisé toute sa vie pour pouvoir se mettre à son propre compte. Ils ont eu plusieurs enfants dont un fils qui a été tué pendant la guerre de Corée. Le couple a toute sa vie tiré le diable par la queue et vit dans un petit appartement très modeste avec leur fille, leur fils et le frère de Jane (le malicieux et touchant Barry Fitzgerald).Leur fille Jane (la délicieuse Debbie Reynolds) leur annonce qu’elle va épouser sans tralala Ralph (Rod Taylor) issu d’une famille aisée. Sa mère va absolument tenir à ce qu’elle se marie en grande cérémonie quitte à y engager toutes leurs économies. Elle veut ainsi effacer l’absence de tendresse qu’elle a eu vis-à-vis de ses enfants et embellir sa propre vie faite de sueur et de larmes.La dramaturgie est efficace et on passe sans transition de l’émotion au rire grâce à une réalisation intelligente et sans temps mort qui ne veut jamais tomber dans le pathos tout en collant à la dure réalité de la vie des plus modestes tout en ne voulant pas écarter la moindre lueur d’espoir.Un excellent film à découvrir de toute urgence.
Reviewer: STEPHAN Rémy
Rating: 5,0 sur 5 étoiles
Title: Richard Brooks
Review: Parmi les cinéastes à thèse(s) progressistes et démonstratifs donc un brin mastoc tel qu’ Yves Boisset ou Oliver Stone, Richard Brooks est quand même l’ un des rares à réussir un pur western ou un film qui évoque les épreuves de la vie, car peut-être plus rigoureux comme André Cayate, autre thèseux, qui réussira «Les amants de Vérone» (1949). Tiré d’ une pièce de théâtre d’ un auteur en vue autant décrié qu’ admiré nommé Paddy Chayefski, scénarisé par Gore Vidal, «Le repas de noces» (1956) peut s’ avérer assez plaisant.Cette histoire d’ une mère de famille modeste (Bette Davis) qui veut donner à sa fille (Debbie Reynolds) un mariage merveilleux et onéreux au désespoir du père (Ernest Borgnine) afin que la future mariée puisse s’ en souvenir toute sa vie, à l’ opposé du désir de celle-ci et de son fiancé (Rod Taylor) appartenant à une famille plus aisée, n’ a rien d’ une balade de santé ; c’ est par cet événement soit disant heureux que l’ on apprendra l’origine du mariage des parents et le vécu de leur relation. «Une actrice peu bressonienne (dixit François Leterrier)» comme Bette Davis risquait de faire capoter le film, néanmoins, le réalisateur la désirait. Si Bebette en fait un tantinet de trop, c’ est son jeu après tout, Ernest Borgnine est très bien en mari subissant les exigences de sa femme. Barry Fitzgerald en oncle un peu porté sur la bouteille et lorgnant sur une veuve avenante est divertissant, ce qui allège le film. Debbie Reynolds – la maman de la princesse Leia Organa n’ a pas de casque à cheveux enroulés sur les oreilles – est émouvante. L’ aspect visuel fait penser à la grisaille du cinéma français de la même époque, ce qui déconcerte de la part de John Alton dont la photographie est d’ habitude plus expressive voire trop envahissante notamment dans «Le passé se venge» (1949) de Robert Florey.Film en noir et blanc d’ une durée de 90 mn.Format 16/9 respecté ; format de diffusion 16/9.Version audio française. Version audio anglaise avec sous-titres français.Bonne copie avec par intermittence quelques points blancs.Pas de bonus, hormis un livret de 50 pages de Florence Colombani.
Reviewer: Rory
Rating: 3,0 sur 5 étoiles
Title: Le mariage du siècle
Review: Placé sous l’égide de deux intellectuels, le romancier Gore Vidal (1925-2012) à l’écriture et l’ancien journaliste Richard Brooks (1912-1992) à la réalisation, The catered affair transpire, en dépit de son postulat naturaliste, une certaine artificialité qu’amplifie encore son origine théâtrale (une pièce de Paddy Chayefski). Dans cette production MGM de 1956, une famille pauvre se déchire autour des préparatifs du mariage de la fille de la maison. Le jeu très (trop) étudié des interprètes principaux (Ernest Borgine et Bette Davis respectivement en chauffeur de taxi et en épouse usée par la vie) concourt à ce sentiment à l’instar, d’ailleurs, de la reconstitution très (trop) minutieuse de leur appartement new-yorkais censé représenter l’intérieur type des classes inférieures américaines. N’étant pas foncièrement un inconditionnel du cinéma de Brooks, Le repas de noce synthétise, à mon humble avis, une grande partie de son œuvre placée sous le signe de la bonne intention et du moralisme. D’une durée de 93 minutes, The catered affair (format 1.77-16/9) est présenté dans une très belle copie offrant le choix entre la vo et la vost. En supplément le livret Ecrivains à Hollywood inhérent à tous les films de la collection.